Quelques tableaux exposés en Suisse, à la fondation Beyler
Pour commencer
Pablo Picasso est né le 25 octobre 1881 et est mort le 8 avril 1973
Il est, pour moi, le plus grand artiste que je connaisse. Sortant de l'académie royale des beaux-arts de San Fernando, il a utilisé la peinture, la sculpture, la céramique, le dessin, l'eau forte, la lithographie, l'écriture...comme moyen d'expression et j'en passe. Bien qu'il était espagnol, son lieu de travail fût Paris où il commença à manier l'art du surréalisme et du cubisme. Il devenu d'ailleurs le fondateur de ce dernier avec Georges Braque.
Il lui fallu toute sa vie pour apprendre à dessiner comme un enfant.
Guernica
Cette peinture est sans aucun doute l'une des plus connu de Picasso et on peut bien le comprendre. Guernica est le nom de cette œuvre mais aussi d'une ville, ravagée par la guerre et c'est ce qu'il représente ici. Je vais vous donner mon analyse personnelle mais évidement, chacun est libre de le voir et de l'interprété comme il le souhaite, c'est d'ailleurs le vœux de Picasso lui même sur ses œuvres.
La première chose que l'on voit c'est le cheval au centre. Un pieux dans la mâchoire, la tête haute, on l'entend presque hennir , pas très accueillant me diriez vous. Ce cheval peut être interprété comme la guerre elle-même. Et les trais sur tout son corps représenteraient non pas ses poils mais chaque morts.
Chacun des personnages cherchent à s'enfuir, totalement effrayés, c'est la panique totale à l'intérieur et à l'extérieur de la pièce. Une femme à droite du tableau semble dehors mais aussi en flamme, hurlant comme pour appeler à l'aide.
A sa gauche on peut voir une autre femme descendre d'un escalier et sortant la tête de la porte tout en tenant une lampe à huile, son visage est empli de surprise (et d'une vraiment désagréable). Sous cette femme, une autre femme court en direction de la lumière, comme si elle s'échappait, pensant que la lumière et la sécurité ne font qu'un.
A gauche du cheval on voit un taureau et juste en dessous de lui se trouve une femme portant un enfant dans ses bras, les pupilles inexistantes de l'enfant nous indique qu'il est mort. La femme pleure alors et crie suppliant le Ciel. Juste à droite de la tête du taureau on peut distinguer un oiseau, c'est sans doute une colombe, symbole de paix, qui se retrouve au beau milieu d'une scène macabre. Elle est affolé et bat des ailes avec panique.
Enfin, au premier plan, sur le sol on peut remarqué qu'un homme se fait piétiner par le cheval et plusieurs morceaux de son corps se retrouvent éparpillés sur le sol. Une jambe à droite, un bras à gauche, la tête à droite et au centre, un bras, tenant une fleur. Lueur d'espoir et de paix dans ce décor désastreux. La seule chose douce dans ce tableau.
La première chose que l'on voit c'est le cheval au centre. Un pieux dans la mâchoire, la tête haute, on l'entend presque hennir , pas très accueillant me diriez vous. Ce cheval peut être interprété comme la guerre elle-même. Et les trais sur tout son corps représenteraient non pas ses poils mais chaque morts.
Chacun des personnages cherchent à s'enfuir, totalement effrayés, c'est la panique totale à l'intérieur et à l'extérieur de la pièce. Une femme à droite du tableau semble dehors mais aussi en flamme, hurlant comme pour appeler à l'aide.
A sa gauche on peut voir une autre femme descendre d'un escalier et sortant la tête de la porte tout en tenant une lampe à huile, son visage est empli de surprise (et d'une vraiment désagréable). Sous cette femme, une autre femme court en direction de la lumière, comme si elle s'échappait, pensant que la lumière et la sécurité ne font qu'un.
A gauche du cheval on voit un taureau et juste en dessous de lui se trouve une femme portant un enfant dans ses bras, les pupilles inexistantes de l'enfant nous indique qu'il est mort. La femme pleure alors et crie suppliant le Ciel. Juste à droite de la tête du taureau on peut distinguer un oiseau, c'est sans doute une colombe, symbole de paix, qui se retrouve au beau milieu d'une scène macabre. Elle est affolé et bat des ailes avec panique.
Enfin, au premier plan, sur le sol on peut remarqué qu'un homme se fait piétiner par le cheval et plusieurs morceaux de son corps se retrouvent éparpillés sur le sol. Une jambe à droite, un bras à gauche, la tête à droite et au centre, un bras, tenant une fleur. Lueur d'espoir et de paix dans ce décor désastreux. La seule chose douce dans ce tableau.
Pour conclure après cette brève analyse, je tiens à dire que ce tableau et assez représentatif de la guerre en générale qui est désastreuse et chaotique. Les reperds sont effacés, lassant place à la panique totale. Ce tableau est assez interressant car on peut vraiment l'interpréter comme on le souhaite et c'est ça qui est impressionnant dans les travaux de Picasso. L'interprétation est libre, d'où mon intérêt pour cet artiste.